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Marelle d'Ambre

Se diriger vers le centre du palais, au rez-de-chaussée (2/244)… à l'entrée, une groose porte aux lourdes ferrures, une clé à un crochet. Une grosse poignée (9/166) Le battant s'ouvre vers l'intérieur (9/186)

C'était un entrelacs complexe et chatoyant de lignes courbes qui s'étend sur une longueur de 150m (2/246). Une étendue lumineuse d'arc et d'angles, de courtes lignes droites, de longues sections légèrement incurvées. Les motifs semblent se trouver à l'intérieur du sol et non à la surface, comme vus en transparence sous une pellicule de glace. Une impression de grande beauté. On y perçoit de la puissance, c'est presque une force palpable. Une débauche de lumière (8/119)
Plus on avance, plus c'est dur. La grande courbe est plus dure que le second voile (4/181)
Une interminable courbe frontale sur laquelle on ne peut progresser que lentement (9/175) Des flammes bleutées jusqu'à mi-cuisses (9/176) Une succession de courbes (9/176) Les flammes arrivent à la taille (9/180) Au premier voile, il faut faire abstraction du froid et des crépitements et ne pas se laisser distraire par les étincelles. Contrôler sa respiration, inspirer très lentement. Après le premier voile, la Marelle joue des tours à l'esprit. Elle fait remonter des souvenirs. Il faut les laisser s'écouler, et concentrer son attention sur le chemin.(8/122, 9/180) A la sortie du deuxième voile, les étincelles peuvent presque monter jusqu'aux épaules (9/180). A l'entrée de la grande courbe, Corail se métamorphose en torche vivante (ce qui parait normal) (8/123) Après le troisième voile, le voile final, un petit arc de cercle et les trois derniers pas, les plus durs : en ce point, une sorte de tension de surface psychique semble en effet se conjuguer à l'inertie matérielle rencontrée juste avant le point d'émergence. Après que avoir été traversée, la Marelle devient plus lumineuse. (8/124)
Dans le recoin le plus éloigné, il y a une petite mare où nagent des poissons aveugles (8/124)

Pousser ou téléporter quelqu'un qui se trouve dans la salle (8/128), empêcher ou favoriser un ambrien de la traverser (9/170). A sa demande, elle téléporte Corail qui est au centre où ça l'arrange (8/128, 9/52-53).

Seuls un fils d'Obéron peut la traverser (1/96). Etre de sang royal, car il était communément admis que toute autre personne serait détruite par la Marelle. (2/246, 8/120) En théorie, une fois engagé, impossible de faire demi-tour. (8/120) Quiconque s'y aventure et n'a pas de sang d'Ambre est détruit (9/53)
La force croit lentement, après l'initiation de la marelle (5/39)

Son influence décroît plus on s'éloigne du Kolvir (6/180)
Selon Fiona, traverser la Marelle est plus facile la seconde fois (7/228)
En la traversant, on ressent quelque chose comme une sorte d'affinité avec elle, un lien de parenté (8/99)

Quand Merlin demande à la Marelle de lui faire comprendre qu'elle est douée de raison, elle le téléporte à l'entrée de la salle. Mais il préfère croire qu'il s'agit d'un de ses désirs inconscients (8/129) et que la Marelle est très sensible (8/127) Elle le téléporte une seconde fois après l'avoir trouvé très insolent. Même Obéron n'a jamais osé lui parler ainsi (9/191)


Mieux vaut ne pas y invoquer le Logrus (8/118)

Elle gagne en puissance lorsqu'une Marelle Brisée est réparée : elle est plus brillante (9/191)
Elle essaye d'absorber celle de Corwin, mais échoue (10/55)

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